

L'installation
Personnes de
Christian Boltanski qui s'est terminée ce week-end au
Grand Palais nous emmène au coeur d'une vie qui semble d'un autre temps, comme disparue... L'image de ces vêtements entassés, les sons de battements de coeur et de bruits de machines... Des éléments forts, symboles de l'horreur qui font réfléchir
"sur l'inéductabilité de la mort et sur le hasard qui préside au destin de chacun..." (Catherine Grenier), comme un rappel à notre humanité. J'aurais aimé y retourner de nuit, seule, complètement immergée...
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