jeudi 18 décembre 2008
Concert Patchwork
Je rentre d'une soirée très agréable ! Un concert organisé par Nicolas (Adjuvance) dans l'intimité de son home sweet home. L'idée, proposer un medley de styles musicaux ! J'ai particuliairement aimé la musique pleine de tolérance et d'ouverture interprétée par Les égarés ainsi que les improvisations d'Emmanuel Savoye, et notamment celle qu'il a eu la gentillesse de dédier à Titouan (...qui pour le remercier a eu la délicatesse de faire un duo pour la dernière note) !
dimanche 23 novembre 2008
Exposition Le cri
mercredi 19 novembre 2008
Glenn Gould
Première semaine de formation en art-thérapie, et je plonge dans l'univers d'un artiste hors-norme. Clinique et art du contrepoint... tout un programme !
lundi 17 novembre 2008
Le mouton noir
Le thème du « Mouton Noir » est abordé au travers d’un idéal de « vie en rose » recherché par et pour « l'homme moderne ».
Un eden, une société formatée, où tout doit être beau, selon des critères prédéfinis comme étant justes par une catégorie d’élites.
Société où la discrimination positive amène de la sectorisation et non de l'intégration, où la différence, les origines, les cultures n'existent plus pour ce qu'elles sont mais pour faire rentrer dans des cases, dans des quotas.
Le rythme dans l’œuvre, propose cependant une ouverture, un espoir. Ne pas s’enfermer et laisser germer l'idée d'une évolution possible. Au travers des imprimés et des collages, il faut repérer la trace, la survivance d’une culture, d’une catégorie de personne, dans une autre.
L'histoire est faite de remous, de débats de la vie et les mesures prises dans le cadre de la « discrimination positive », bien que portant à controverse, ont participé à l’évolution des mentalités.
Tableau que j'ai réalisé à partir d'une installation de l'artiste Wallerand dans le cadre de la semaine de lutte contre la discrimination
Un eden, une société formatée, où tout doit être beau, selon des critères prédéfinis comme étant justes par une catégorie d’élites.
Société où la discrimination positive amène de la sectorisation et non de l'intégration, où la différence, les origines, les cultures n'existent plus pour ce qu'elles sont mais pour faire rentrer dans des cases, dans des quotas.
Le rythme dans l’œuvre, propose cependant une ouverture, un espoir. Ne pas s’enfermer et laisser germer l'idée d'une évolution possible. Au travers des imprimés et des collages, il faut repérer la trace, la survivance d’une culture, d’une catégorie de personne, dans une autre.
L'histoire est faite de remous, de débats de la vie et les mesures prises dans le cadre de la « discrimination positive », bien que portant à controverse, ont participé à l’évolution des mentalités.
Tableau que j'ai réalisé à partir d'une installation de l'artiste Wallerand dans le cadre de la semaine de lutte contre la discrimination
mercredi 12 novembre 2008
Michel Savattier
Rencontre avec l'artiste-peintre Michel Savattier. Un atelier rempli de toiles, de matières diverses pour une recherche de laboratoire... Un voyage dans les strates, les méandres de la création minérale.
En plus de sa démarche artistique, Michel Savattier, accompagne les artistes en multipliant les réseaux et les salons. C'est comme cela que j'ai eu l'opportunité de participer au salon ARAMI.
Merci à lui !
L'espace d'un moment de méditation, visite de la cathédrale de Beauvais. De magnifiques vitraux, des murs usés par le temps... Matières à création.
En plus de sa démarche artistique, Michel Savattier, accompagne les artistes en multipliant les réseaux et les salons. C'est comme cela que j'ai eu l'opportunité de participer au salon ARAMI.
Merci à lui !
L'espace d'un moment de méditation, visite de la cathédrale de Beauvais. De magnifiques vitraux, des murs usés par le temps... Matières à création.
vendredi 31 octobre 2008
Action primaire
Avec Art 27, je participe à la Semaine de lutte contre la discrimination organisée par Espace Jeunes à Marly le Roi.
Les artistes présenteront leur travail dans le cadre d'une exposition se déroulant du lundi 10 au samedi 15 novembre 2008, et une performance "action primaire" sera réalisée.
Pour en savoir plus Espace Jeunes ou Culture Yvelines
Les artistes présenteront leur travail dans le cadre d'une exposition se déroulant du lundi 10 au samedi 15 novembre 2008, et une performance "action primaire" sera réalisée.
Pour en savoir plus Espace Jeunes ou Culture Yvelines
lundi 1 septembre 2008
Un pas de plus
Petit à petit l'oiseau fait son nid... et moi aussi ;)
Je suis prise pour la formation du DU en art-thérapie ! Objectif métier : responsable d’atelier thérapeutique ou psychoéducatif à médiation artistique, spécialisation musique, arts plastiques ou arts de la scène. Maintenant c'est concret, démarrage des cours en novembre. Il va falloir s'organiser avec le petit homme qui est arrivé récement dans ma vie...
Je suis prise pour la formation du DU en art-thérapie ! Objectif métier : responsable d’atelier thérapeutique ou psychoéducatif à médiation artistique, spécialisation musique, arts plastiques ou arts de la scène. Maintenant c'est concret, démarrage des cours en novembre. Il va falloir s'organiser avec le petit homme qui est arrivé récement dans ma vie...
vendredi 22 août 2008
Photographie
L’exposition présentée au Jeu de Paume jusqu'au 27 septembre 2008 regroupe 270 œuvres de Richard Avedon, retraçant l’ensemble de sa carrière de 1946 à 2004.
Des images artistiquement très fortes, laissant place à l'émotion, comme ces portraits d’anonymes de la côte Ouest, devant lesquels la mélancolie nous submerge. Un témoignage sur l'identité. Derrière le masque, les profondeurs et les fragilités de l'être.
"À mon sens injustement rangée du côté du glamour, de la célébrité et du pouvoir, l’œuvre de Richard Avedon (...) témoigne au contraire d’un parcours artistique riche en positions critiques sur la photographie, la représentation du réel et la construction identitaire.
Chez Richard Avedon, un portrait se joue dans la courte distance physique le séparant de son sujet – un espace où l’habileté du photographe entre en tension avec le besoin extrême de construction de sa propre image éprouvée par le modèle. Pour lui, il n’y a pas de photographie "vraie", et d’ailleurs nous n’avons pas une, mais plusieurs identités. Ainsi, politiciens, mineurs, mannequins, clochards, stars du cinéma ou anonymes : tous deviennent des personnages sous la baguette du photographe, incarnant une identité parmi tant d’autres qui nous caractérisent. Cette première grande rétrospective Richard Avedon en France est donc l’occasion d’apprécier ses clichés les plus classiques, mais aussi de redécouvrir une œuvre profonde et intelligente." Marta Gili
Des images artistiquement très fortes, laissant place à l'émotion, comme ces portraits d’anonymes de la côte Ouest, devant lesquels la mélancolie nous submerge. Un témoignage sur l'identité. Derrière le masque, les profondeurs et les fragilités de l'être.
"À mon sens injustement rangée du côté du glamour, de la célébrité et du pouvoir, l’œuvre de Richard Avedon (...) témoigne au contraire d’un parcours artistique riche en positions critiques sur la photographie, la représentation du réel et la construction identitaire.
Chez Richard Avedon, un portrait se joue dans la courte distance physique le séparant de son sujet – un espace où l’habileté du photographe entre en tension avec le besoin extrême de construction de sa propre image éprouvée par le modèle. Pour lui, il n’y a pas de photographie "vraie", et d’ailleurs nous n’avons pas une, mais plusieurs identités. Ainsi, politiciens, mineurs, mannequins, clochards, stars du cinéma ou anonymes : tous deviennent des personnages sous la baguette du photographe, incarnant une identité parmi tant d’autres qui nous caractérisent. Cette première grande rétrospective Richard Avedon en France est donc l’occasion d’apprécier ses clichés les plus classiques, mais aussi de redécouvrir une œuvre profonde et intelligente." Marta Gili
vendredi 15 août 2008
La Cathédrale d'Images
Au coeur des Alpilles, dans le site classé des Baux de Provence, la Cathédrale d'Images nous plonge dans la peinture de Vincent Van Gogh. Réalisé par Régis Prévôt on entre dans un merveilleux voyage de l'ombre à la lumière... Une ambiance visuelle et musicale renforcée par ces anciennes carrières, un lieu qui invite à la méditation, et apporte un regard différent sur l'oeuvre. On plonge dans l'univers de l'artiste, on est dans sa peinture, une peinture devenue vivante.
samedi 2 août 2008
Les îles de l'espoir
Petit aperçu de l'installation réalisée dans le cadre de l'exposition Ecce Homo !
Vidéo © Wallerand - Caroline
dimanche 20 juillet 2008
vendredi 20 juin 2008
lundi 16 juin 2008
Exposition Ecce Homo
Art27, association d’arts plastiques, organise chaque année une exposition d’art contemporain à Marly le Roi. L’association existe depuis 40 ans, elle propose de la pédagogie à travers ses ateliers et s’oriente vers des projets d’exposition à tendance contemporaine et expérimentale.
A l'occasion du 60 ème anniversaire de la Déclaration Universselle des Droits de l'Homme, l'exposition Ecce Homo s’inspire directement de la Déclaration - Paris 1948 et plus particulièrement de de l’article 27 : dans le monde, nombreux sont les hommes, notamment les artistes, qui ne peuvent exprimer leurs idées, leurs émotions ; art27 veut montrer, dénoncer et exposer les cris, les ouvertures et les fermetures humaines et créatives.
J'y participe sur trois projets
- Le droit de créer et Mots d'artistes : vidéos inspirées de l'art 27
- Les îles de l'espoir : installation inspirée des art 3, 9, 13
- Le droit à l'éducation : installation-peinture inspirée de l'art 26
L'exposition est jusqu'au 19 juin 2008.
A l'occasion du 60 ème anniversaire de la Déclaration Universselle des Droits de l'Homme, l'exposition Ecce Homo s’inspire directement de la Déclaration - Paris 1948 et plus particulièrement de de l’article 27 : dans le monde, nombreux sont les hommes, notamment les artistes, qui ne peuvent exprimer leurs idées, leurs émotions ; art27 veut montrer, dénoncer et exposer les cris, les ouvertures et les fermetures humaines et créatives.
J'y participe sur trois projets
- Le droit de créer et Mots d'artistes : vidéos inspirées de l'art 27
- Les îles de l'espoir : installation inspirée des art 3, 9, 13
- Le droit à l'éducation : installation-peinture inspirée de l'art 26
L'exposition est jusqu'au 19 juin 2008.
mardi 10 juin 2008
samedi 31 mai 2008
Les Ateliers Extraordinaires
L'exposition "sur un fil de beauté" est une aventure singulière de 60 artistes. Des artistes de l'atelier de Sylvie Hanus, et des artistes invités qui échangent dans la couleur, le trait... pour un langage pictural libre et spontané.
Un temps pour la différence et la reconnaissance de chacun, un temps pour avancer dans l'imaginaire.
Exposition du 24 mai au 01 juin 2008, Manège Royal, Place Royale. 78100 St Germain en Lay.
Coup de coeur particulier pour l'artiste Stéphanie May Hanus.
Un temps pour la différence et la reconnaissance de chacun, un temps pour avancer dans l'imaginaire.
Exposition du 24 mai au 01 juin 2008, Manège Royal, Place Royale. 78100 St Germain en Lay.
Coup de coeur particulier pour l'artiste Stéphanie May Hanus.
lundi 26 mai 2008
Séminaire Pratique d'Art Thérapie
dimanche 18 mai 2008
Trophées de la Jeune Création
Salle des fêtes de l’Hôtel de ville de Marly le Roi (78), du 15 au 23 mai 2008.
Clin d'oeil à une jolie initiative qui a pour objet de découvrir, d'encourager et de faire connaître la création artistique de jeunes talents en dessin, peinture, sculpture, photographie, littérature, multimédia...
N'hésitez pas à vous y rendre, il y a vraiment des créations prométeuses !
Mention spéciale pour Canelle et Tanguy,
de l'association Art 27 !!
Clin d'oeil à une jolie initiative qui a pour objet de découvrir, d'encourager et de faire connaître la création artistique de jeunes talents en dessin, peinture, sculpture, photographie, littérature, multimédia...
N'hésitez pas à vous y rendre, il y a vraiment des créations prométeuses !
Mention spéciale pour Canelle et Tanguy,
de l'association Art 27 !!
samedi 17 mai 2008
Scène-égale...
Me voilà de retour d'un périple au Sénégal. Un séjour commencé en 2007, il y a un an, presque jour pour jour... Un voyage qu'il me fallait terminer. Revenir sur ce lieu, pour se dire que la "parole magique" n'existe pas.
J'avais mis beaucoup de symboles dans ce voyage. Ayant vécu en côte d'Ivoire lorsque j'étais petite, c'était comme un retour aux "sources" pour mes 30 ans. Et pour un retour au sources, c'était très fort ! J'ai vite plongé dans un souvenir important de mon enfance, la maladie. Comme un mauvais film que l'on rejoue... Je suis rentrée en rapatriement, avec un Guylain-Barré pour bagage... Cette maladie, rare, non génétique, que ma soeur avait fait à l'âge de 2 ans, en Afrique...
J'ai vécu cette période entre parenthèse, sans être réellement inquiète. Je connaissais, je savais que si j'étais bien médicalisée, je ne craignait rien. 1 nuit à la clinique de Tambacumda, 48 heures en service de réanimation et 1 semaine d'hospitalisation à la clinique de la Madeleine à Dakar, le rapatriement, les urgences, encore 48 heures en service de réanimation, 1 semaine en post-réanimation, 1 mois en rééducation à l'hôpital de Garches et puis 6 mois à la maison... Presque rien... De mon point de vue. Tout le temps j'ai pensé que j'avais de la chance, que je récupérais vite, que je n'avais pas de séquelle...
Et puis il y a eu cette invitation. Je ne pouvais qu'y retourner. Encore une foi, je me suis dit que c'était une chance, une chance de pouvoir aller au bout de cette histoire. Et c'est au moment ou je ne pouvait plus reculer que l'angoisse est arrivée. Un an après, le Sénégal, "scène-égale"... J'ai eu peur. Une peur d'autant présente que j'attend un enfant. Cette foi, il n'y avait pas que moi.
Là bas, j'ai ressenti les symptômes, revécu les moments de la maladie, analysé les sensations physiques que j'avais eu... Les émotions que j'avais mis de coté sont venues. Un passage initiatique vers l'acceptation de ce qui m'était arrivé. Une répétition ou presque, puisque c'était déjà fait.
Le voyage terminé, je prend enfin la mesure de l'histoire, et surtout, Bébé va bien.
J'avais mis beaucoup de symboles dans ce voyage. Ayant vécu en côte d'Ivoire lorsque j'étais petite, c'était comme un retour aux "sources" pour mes 30 ans. Et pour un retour au sources, c'était très fort ! J'ai vite plongé dans un souvenir important de mon enfance, la maladie. Comme un mauvais film que l'on rejoue... Je suis rentrée en rapatriement, avec un Guylain-Barré pour bagage... Cette maladie, rare, non génétique, que ma soeur avait fait à l'âge de 2 ans, en Afrique...
J'ai vécu cette période entre parenthèse, sans être réellement inquiète. Je connaissais, je savais que si j'étais bien médicalisée, je ne craignait rien. 1 nuit à la clinique de Tambacumda, 48 heures en service de réanimation et 1 semaine d'hospitalisation à la clinique de la Madeleine à Dakar, le rapatriement, les urgences, encore 48 heures en service de réanimation, 1 semaine en post-réanimation, 1 mois en rééducation à l'hôpital de Garches et puis 6 mois à la maison... Presque rien... De mon point de vue. Tout le temps j'ai pensé que j'avais de la chance, que je récupérais vite, que je n'avais pas de séquelle...
Et puis il y a eu cette invitation. Je ne pouvais qu'y retourner. Encore une foi, je me suis dit que c'était une chance, une chance de pouvoir aller au bout de cette histoire. Et c'est au moment ou je ne pouvait plus reculer que l'angoisse est arrivée. Un an après, le Sénégal, "scène-égale"... J'ai eu peur. Une peur d'autant présente que j'attend un enfant. Cette foi, il n'y avait pas que moi.
Là bas, j'ai ressenti les symptômes, revécu les moments de la maladie, analysé les sensations physiques que j'avais eu... Les émotions que j'avais mis de coté sont venues. Un passage initiatique vers l'acceptation de ce qui m'était arrivé. Une répétition ou presque, puisque c'était déjà fait.
Le voyage terminé, je prend enfin la mesure de l'histoire, et surtout, Bébé va bien.
mercredi 30 avril 2008
Louise Bourgeois
"Organisée par le Centre Pompidou en collaboration avec la Tate Modern de Londres, cette exposition rétrospective de l'oeuvre de Louise Bourgeois présente plus de 200 oeuvres (peintures, sculptures, installations, dessins, gravures, objets) réalisées entre 1940 et 2007. Elle insiste particulièrement sur les dix dernières années de création de cette artiste âgée de 96 ans qui ne cesse de renouveler son langage artistique.
(...) Louise Bourgeois est une des artistes majeures de la fin du 20e et du début du 21e siècles. Traversant divers mouvements artistiques comme le surréalisme, l'expressionnisme abstrait, le minimalisme, elle développe un langage personnel qui rejoint les pratiques les plus contemporaines et exerce une grande influence sur de nombreux artistes.
Son oeuvre, qui oscille entre figuration et abstraction, obéit à une logique subjective, basée sur l'émotion, la mémoire, la réactivation des souvenirs d'enfance."
...
Et moi...
Je Re-Mue...
(...) Louise Bourgeois est une des artistes majeures de la fin du 20e et du début du 21e siècles. Traversant divers mouvements artistiques comme le surréalisme, l'expressionnisme abstrait, le minimalisme, elle développe un langage personnel qui rejoint les pratiques les plus contemporaines et exerce une grande influence sur de nombreux artistes.
Son oeuvre, qui oscille entre figuration et abstraction, obéit à une logique subjective, basée sur l'émotion, la mémoire, la réactivation des souvenirs d'enfance."
...
Et moi...
Je Re-Mue...
samedi 26 avril 2008
Atelier Starter "Animation" - Les Pinceaux
Cette semaine j'ai participé à l'atelier starter "animation" du centre de formation Les Pinceaux. Nous avons abordé l'animation dans son rapport aux matières et à l'espace, les outils informatiques utilisés n'étant que des supports pour monter les projets.
Les différentes techniques proposées différaient chaque jour :
- le dessin, animé sur une surface, le verre.
- la terre, à modeler pour une approche en volume.
- les personnages animés avec la création de marionnettes.
- réalisation d'un projet avec les différentes techniques abordées.
Cette formation réalisé par Régis, c'est déroulée dans un esprit d'ouverture et avec une ambiance ludique. Que du bonheur !
C'était une expérience très enrichissante, cette médiation me semble très intéressante pour faire "expérimenter". On entre vite dans un jeu de matière, dans la projection de soi. C'est aussi un rapport au temps et le regard sur une réalisation qui peut être individuelle ou collective. Différents chemins possibles mettant tous nos sens en éveil.
Les différentes techniques proposées différaient chaque jour :
- le dessin, animé sur une surface, le verre.
- la terre, à modeler pour une approche en volume.
- les personnages animés avec la création de marionnettes.
- réalisation d'un projet avec les différentes techniques abordées.
Cette formation réalisé par Régis, c'est déroulée dans un esprit d'ouverture et avec une ambiance ludique. Que du bonheur !
C'était une expérience très enrichissante, cette médiation me semble très intéressante pour faire "expérimenter". On entre vite dans un jeu de matière, dans la projection de soi. C'est aussi un rapport au temps et le regard sur une réalisation qui peut être individuelle ou collective. Différents chemins possibles mettant tous nos sens en éveil.
vendredi 18 avril 2008
Exposition Terre - Vernissage
Le vernissage de l'exposition s'est déroulé dans la bonne humeur grâce notamment à l'accueil chaleureux de l'équipe de la petite entreprise. Un grand merci aux "fées de l'espace" qui ont contribué à ce moment.
Je suis très heureuse de pouvoir présenter mon travail dans ce lieu de rencontre et j'espère que cela sera accueilli favorablement par le public. Je cherche à avoir une peinture de l'émotion, je me met à nu au travers de ces toiles, je ne triche pas.
Une exposition est une mise en danger, J'ai envie de partager, d'entendre ce qui est perçu, ressenti... et en même temps j'ai peur de ne pas être bien reçue... C'est une position difficile, d'autant qu'il me semble que l'on doit être engagée dans son art en fonction de soi et non du regard des autres. Mais il y a toujours ce besoin universel d'être aimé, et ce doute récurent, ai-je réellement ma place en tant qu'artiste ?
Je suis très heureuse de pouvoir présenter mon travail dans ce lieu de rencontre et j'espère que cela sera accueilli favorablement par le public. Je cherche à avoir une peinture de l'émotion, je me met à nu au travers de ces toiles, je ne triche pas.
Une exposition est une mise en danger, J'ai envie de partager, d'entendre ce qui est perçu, ressenti... et en même temps j'ai peur de ne pas être bien reçue... C'est une position difficile, d'autant qu'il me semble que l'on doit être engagée dans son art en fonction de soi et non du regard des autres. Mais il y a toujours ce besoin universel d'être aimé, et ce doute récurent, ai-je réellement ma place en tant qu'artiste ?
Photo © Philippe Lemaire
mardi 1 avril 2008
Exposition "Terre" à La Petite Entreprise
Matières, objets de transfert ?
La journée annuelle de l'ATEPP.CEFAT s'est déroulée samedi 29 mars autour d'une question importante "en art thérapie, la matière est elle objet de transfert ?".
Un concept clé qui donne matière à penser.
Certaines interventions m'ont particulièrement intéressées ; " le transfert au sensible" de Sara Pain, " le transfert de la matière : une expression de soi, une création avec l'autre ? " de Jean Luc Sudres, et " le déchet, véhicule de création " de Claire Bourdin.
Un concept clé qui donne matière à penser.
Certaines interventions m'ont particulièrement intéressées ; " le transfert au sensible" de Sara Pain, " le transfert de la matière : une expression de soi, une création avec l'autre ? " de Jean Luc Sudres, et " le déchet, véhicule de création " de Claire Bourdin.
dimanche 23 mars 2008
Séminaire Pratique d'Art Thérapie
Le deuxième module du séminaire de St Anne s'est déroulé vendredi 14 et samedi 15 mars.
Nous avons eu une présentation très intéressante d'éléments théoriques en art plastique, abordé des études de cas et réalisé des ateliers en expression plastique et en théâtre.
Cette foi ci je me suis sentie dans mon élément, je trouve ma place doucement. Cela me rassure pour mon projet.
Nous avons eu une présentation très intéressante d'éléments théoriques en art plastique, abordé des études de cas et réalisé des ateliers en expression plastique et en théâtre.
Cette foi ci je me suis sentie dans mon élément, je trouve ma place doucement. Cela me rassure pour mon projet.
mercredi 19 mars 2008
Tout est langage - Françoise Dolto
Dans cet ouvrage qui reprend le contenu d'une conférence adressée à des psychologues, des médecins et des travailleurs sociaux, Françoise Dolto affirme l’importance du parler vrai aux enfants quelles que soient les circonstances ; divorce, mort, circoncision, adolescence, adoption...
Psychanalyste et praticienne de l'enfance, Françoise Dolto, nous rend son expérience vivante et transmissible en utilisant des mots simples et accessibles à tous.
Elle montre que c'est souvent jusque dans et par son corps que l'enfant exprime ce qu'il ne peut parfois signifier autrement, que tout ce qu'il fait a du sens.
Les enfants ont besoin de la vérité et y ont droit. Vérité, qui, même si elle est douloureuse à entendre, permet au sujet de s'en construire et de s'en humaniser si elle est parlée et dite de part et d'autre.
Psychanalyste et praticienne de l'enfance, Françoise Dolto, nous rend son expérience vivante et transmissible en utilisant des mots simples et accessibles à tous.
Elle montre que c'est souvent jusque dans et par son corps que l'enfant exprime ce qu'il ne peut parfois signifier autrement, que tout ce qu'il fait a du sens.
Les enfants ont besoin de la vérité et y ont droit. Vérité, qui, même si elle est douloureuse à entendre, permet au sujet de s'en construire et de s'en humaniser si elle est parlée et dite de part et d'autre.
Le corps bavard - Sophie Marinopoulos
Sophie Marinopoulos, psychologue clinicienne et psychanalyste, raconte le corps, les non-dits du corps, ses paroles, son langage.
Un corps qui cherche à dire ce qui ne peut s'exprimer par des mots. Un corps qui exprime nos peurs, nos désirs, notre histoire...
Le corps qui parle de l'intimité de la personne, de la façon dont celle-ci interprète le monde qui l'entoure. Le corps comme révélateur de notre construction psychique, l'expression des expériences et des traces laissées sur nous.
Ce livre nous amène à réfléchir sur la relation entre l'enfant à venir et sa mère, sur l'importance du désir, du regard, du ressenti. En abordant des questions complexes telles que l'homo-parentalité, ou bien en parlant de l'impensable tel que le déni de grossesse, l'auteur nous invite à un regard différent, plus tolérant.
Un corps qui cherche à dire ce qui ne peut s'exprimer par des mots. Un corps qui exprime nos peurs, nos désirs, notre histoire...
Le corps qui parle de l'intimité de la personne, de la façon dont celle-ci interprète le monde qui l'entoure. Le corps comme révélateur de notre construction psychique, l'expression des expériences et des traces laissées sur nous.
Ce livre nous amène à réfléchir sur la relation entre l'enfant à venir et sa mère, sur l'importance du désir, du regard, du ressenti. En abordant des questions complexes telles que l'homo-parentalité, ou bien en parlant de l'impensable tel que le déni de grossesse, l'auteur nous invite à un regard différent, plus tolérant.
vendredi 7 mars 2008
Atelier Starter "Volumes et Structures" - Les Pinceaux
Cette semaine j'ai participé à l'atelier starter "volumes et structures" du centre de formation Les Pinceaux.
J'ai vécu ces quatre jours d'une étrange façon, des réalisations plus ou moins faciles, de la frustration et du plaisir.
Chaque jour nous avons abordé une technique différente :
- travail sur le volume avec l'utilisation de formes géométriques en polystyrène pour réaliser des sculptures représentant des corps,
- mise en perspective à partir d'une image traduite en 3D,
- compréhension des vides et les pleins en réalisant des structures en carton
- rencontre émotionnelle avec la matière en réalisant l'emprunte du corps avec du grillage et du plâtre. Le point de départ de cette création est réalisé avec une couverture de survie, qui garde la forme donnée et sert de modèle. Symbole fort de cette enveloppe repris également dans la sculpture.
Je m'attendais à ce qu'il y ait dans le programmes des liens avec l'art thérapie, en effet l'Atelier Les Pinceaux en est un centre de formation, ce n'était pas le cas... Malgré tout, j'y ai trouvé des réponses au travers des échanges avec les autres participants. Et puis l'approche plastique m'intéressait car j'ai une pratique "limitée" à la peinture, je voulais explorer de nouvelles pistes. J'ai réalisé qu'en fonction des matériaux utilisés, j'étais mise en difficulté... Le polystyrène, le carton ne sont pas des outils de création que j'apprécie et je me suis même retrouvée en situation de blocage... Par contre le grillage et le plâtre sont des matières que j'ai apprécié, on est plus dans un corps à corps, une relation physique qui me permet d'être dans le ressenti. Cela m'a donné envie de continuer à les explorer.
J'ai vécu ces quatre jours d'une étrange façon, des réalisations plus ou moins faciles, de la frustration et du plaisir.
Chaque jour nous avons abordé une technique différente :
- travail sur le volume avec l'utilisation de formes géométriques en polystyrène pour réaliser des sculptures représentant des corps,
- mise en perspective à partir d'une image traduite en 3D,
- compréhension des vides et les pleins en réalisant des structures en carton
- rencontre émotionnelle avec la matière en réalisant l'emprunte du corps avec du grillage et du plâtre. Le point de départ de cette création est réalisé avec une couverture de survie, qui garde la forme donnée et sert de modèle. Symbole fort de cette enveloppe repris également dans la sculpture.
Je m'attendais à ce qu'il y ait dans le programmes des liens avec l'art thérapie, en effet l'Atelier Les Pinceaux en est un centre de formation, ce n'était pas le cas... Malgré tout, j'y ai trouvé des réponses au travers des échanges avec les autres participants. Et puis l'approche plastique m'intéressait car j'ai une pratique "limitée" à la peinture, je voulais explorer de nouvelles pistes. J'ai réalisé qu'en fonction des matériaux utilisés, j'étais mise en difficulté... Le polystyrène, le carton ne sont pas des outils de création que j'apprécie et je me suis même retrouvée en situation de blocage... Par contre le grillage et le plâtre sont des matières que j'ai apprécié, on est plus dans un corps à corps, une relation physique qui me permet d'être dans le ressenti. Cela m'a donné envie de continuer à les explorer.
samedi 23 février 2008
Le classique et l'indien
La peinture comme le théâtre a ce don de nous transporter ailleurs. Dans "le classique et l'indien" Gérard Garouste met son âme à nu et nous emmène en voyage au travers d'une réflexion drolatique.
Invité à regarder, par des "oculi", l'intérieur d'une sorte de chapiteau, le spectateur découvre d'abord des détails de la peinture réalisée par l'artiste. Une fresque inspirée des écrit de Rabelais et qui constitue à la fois le support et le sujet de cette performance.
Progressivement l'artiste accompagné de son double, Denis Lavant (d'une justesse incroyable), dévoile la toile comme s'il devenait lui-même une extension de son oeuvre.
Tout en exprimant la relation profonde entre la peinture et les mots, il nous fait part des contradictions de la pensée.
Nous sommes devant le mystère de la création, le mystère du monde et le mystère d'être au monde. Un moment profondément poétique, brillant, saturés de sens…
Invité à regarder, par des "oculi", l'intérieur d'une sorte de chapiteau, le spectateur découvre d'abord des détails de la peinture réalisée par l'artiste. Une fresque inspirée des écrit de Rabelais et qui constitue à la fois le support et le sujet de cette performance.
Progressivement l'artiste accompagné de son double, Denis Lavant (d'une justesse incroyable), dévoile la toile comme s'il devenait lui-même une extension de son oeuvre.
Tout en exprimant la relation profonde entre la peinture et les mots, il nous fait part des contradictions de la pensée.
Nous sommes devant le mystère de la création, le mystère du monde et le mystère d'être au monde. Un moment profondément poétique, brillant, saturés de sens…
Corps-texte
Dans le quartier de la Goutte d’Or, à l'affiche du Lavoir Moderne Parisien, "M.A.M.A.E" (Meurtre Artistique Munition Action Explosion) et "WOMEN 68 même pas mort" de Nadège Prugnard.
Un théâtre qui se veut « critique de son temps », qui prend à bras le corps l'actualité. Texte provocateur, violent, qui bouscule les conventions et nous fait réfléchir.
"Un univers charnel et révolté.
Corps-texte. Voilà ce que sont Nadège Prugnard et son écriture. Elles pulsent, scandent, martèlent.
Corps et esprit meurtris et pourtant agiles, rugissants et frondeurs.
Pulsion scansion contraction : accouchement, choc, éjaculation. Un cri de rage et d'amour aussi. Un tourbillon. Quelque chose d'ultime et d'obsédant. Une musique puissante, un parfum enivrant. Celui de cette chair, de ce sexe, si loin, si près. Ça pleure, ça chante, ça éructe !
Une écriture en rouge sang, à la beauté écorchée, avec sous la peau blanche et les cicatrices à vif, creusées à l'air vicié du monde, la chair qui tangue, qui bat la mesure et qui n'attend pas.
De l’intime au politique, de l’organique au philosophique : une révolte, un cri, un spasme, un râle, un feu brûlant… Un désir fou de vivre.
Ceux de cette mariée offerte et mise à nu, vraie fausse vierge post-punk. Pour nous, ses célibataires même !"
Walter Dimonio Eseinstein
Choc des mot qui s'imposent sans jamais s'arrêter. Phrases qui s’emmêlent. Parole rythmique. Verbe rempli d'audace, de rire et d'obscénité. Cela m'a dérangé. Interrogé. Bouleversé.
Un théâtre qui se veut « critique de son temps », qui prend à bras le corps l'actualité. Texte provocateur, violent, qui bouscule les conventions et nous fait réfléchir.
"Un univers charnel et révolté.
Corps-texte. Voilà ce que sont Nadège Prugnard et son écriture. Elles pulsent, scandent, martèlent.
Corps et esprit meurtris et pourtant agiles, rugissants et frondeurs.
Pulsion scansion contraction : accouchement, choc, éjaculation. Un cri de rage et d'amour aussi. Un tourbillon. Quelque chose d'ultime et d'obsédant. Une musique puissante, un parfum enivrant. Celui de cette chair, de ce sexe, si loin, si près. Ça pleure, ça chante, ça éructe !
Une écriture en rouge sang, à la beauté écorchée, avec sous la peau blanche et les cicatrices à vif, creusées à l'air vicié du monde, la chair qui tangue, qui bat la mesure et qui n'attend pas.
De l’intime au politique, de l’organique au philosophique : une révolte, un cri, un spasme, un râle, un feu brûlant… Un désir fou de vivre.
Ceux de cette mariée offerte et mise à nu, vraie fausse vierge post-punk. Pour nous, ses célibataires même !"
Walter Dimonio Eseinstein
Choc des mot qui s'imposent sans jamais s'arrêter. Phrases qui s’emmêlent. Parole rythmique. Verbe rempli d'audace, de rire et d'obscénité. Cela m'a dérangé. Interrogé. Bouleversé.
dimanche 17 février 2008
samedi 9 février 2008
France le Thaï
vendredi 8 février 2008
Zoé Zoé, femmes du monde
Titouan Lamazou nous emmène pour un voyage autour du monde au travers du regard de femmes.
C'est beau, esthétique et poétique.
La vie est là, belle et souriante, sans cacher ni accepter ce qu'il y a de plus dur : pauvreté, viols, excision, prostitution...
Une exposition qui traverse les frontières et nous incite à l'ouverture sur l'autre.
C'est beau, esthétique et poétique.
La vie est là, belle et souriante, sans cacher ni accepter ce qu'il y a de plus dur : pauvreté, viols, excision, prostitution...
Une exposition qui traverse les frontières et nous incite à l'ouverture sur l'autre.
lundi 4 février 2008
Paris insolite
mardi 29 janvier 2008
Séminaire Pratique d'Art Thérapie
Le premier module s'est déroulé à Saint Anne le 18 et 19 janvier. C'était très intéressant et un peu "effrayant"... C'est sans doute pour cela que je ne fait ce post que maintenant... J'avais besoin de prendre du recul.
Pour le moment, nous avons abordé essentiellement l'histoire de l'art thérapie, mais quelques "concepts" ont été présentés ce qui me rappelle mes lacunes en ce qui concerne tout ce qui démarre par psy... Il va falloir que je lise des ouvrages sur ces domaines et j'avoue que j'y vais à reculons...
Malgré tout je reste très motivé par cette discipline. Pendant les ateliers je me suis sentie très à l'aise, et j'ai envie d'en savoir plus. Vivement le prochain module en mars !!!
Pour le moment, nous avons abordé essentiellement l'histoire de l'art thérapie, mais quelques "concepts" ont été présentés ce qui me rappelle mes lacunes en ce qui concerne tout ce qui démarre par psy... Il va falloir que je lise des ouvrages sur ces domaines et j'avoue que j'y vais à reculons...
Malgré tout je reste très motivé par cette discipline. Pendant les ateliers je me suis sentie très à l'aise, et j'ai envie d'en savoir plus. Vivement le prochain module en mars !!!
jeudi 3 janvier 2008
Bonne Année !!
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